En tant que B Corp, nous faisons partie d’une communauté mondiale d’entreprises qui répondent à des normes élevées en matière d’impact social et environnemental. Des organisations qui utilisent leur entreprise comme une force du bien. Nous sommes évidemment ravis de faire partie du mouvement B corp. C’est une reconnaissance des valeurs que nous poursuivons tout en partageant la magie de la flamme avec les gens du monde entier. De plus, c’est le début de notre voyage vers l’amélioration continue et l’action collective. Sur cette page, nous souhaitons partager les tenants et les aboutissants de cette certification, et pourquoi elle est si importante pour nous tous.
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Depuis la blanchisserie de cire sur la Kerkendijk à Schijndel en 1870, Bolsius s’est développé pour devenir le fabricant de bougies numéro un en Europe. Depuis le siège de Schijndel – toujours situé sur la Kerkendijk – et ses succursales européennes, Bolsius éclaire des millions de foyers de par le monde.
Le rachat de plusieurs entreprises de production en Europe rend la production de plus en plus complexe : à la fin des années 1990, les nombreuses usines produisent au total plus de 35 000 articles. De surcroît, ces usines livrent parfois les mêmes clients. Les ventes et la logistique deviennent compliqués et difficiles à gérer. Bolsius décide dès lors de centraliser l’organisation de vente en trois régions et de créer un entrepôt central au siège de Schijndel.
Les unités de production sont ramenées à trois, et un site de production flambant neuf est construit à Kobylin (Pologne) pour fabriquer des bougies à fort coefficient de main-d’œuvre. Une décision qui s’avère sage, même si l’entrepôt central de Schijndel devient rapidement trop étroit. L’entreprise se tourne vers Helmond, où Vos Logistics va gérer la distribution et le stockage pour le Bolsius Group BV à partir de 1998.
‘Vrouw met Blaker’ (femme avec un chandelier) C’était le nom donné à l’œuvre d’art de deux mètres de haut que Bolsius a offerte à la province de Schijndel. C’était l’année où Bolsius célébrait son 125e anniversaire et, pour célébrer les liens avec la communauté de Schijndel, Bolsius a fait don de cette œuvre d’art. Selon son créateur, Niek van Leest, l’œuvre concerne la lumière des bougies. Des bougies pour créer une atmosphère. La femme est vêtue de vêtements de nuit pour évoquer l’obscurité. Elle vérifie l’étable et les bâtiments.
La statue est exposée à l’intersection de la Hoofdstraat et de la Kluisstraat, là où se trouvait autrefois l’une des villas de la famille Bolsius.
1995 est aussi l’année du rachat de l’usine de bougies Kristen BV à Delden. Une étape logique puisque les deux entreprises travaillent ensemble depuis plusieurs années. En 1998, le département cierges d’église de Kristen fusionne avec la fabrique de bougies Hoogeland établie à Roermond. La nouvelle entité est baptisée : Kaarsenfabriek Hoogeland-Kristen.
Avec le rachat d’une fabrique de bougies danoise et de deux usines allemandes, le groupe Bolsius devient le plus gros fabricant de bougies d’Europe. Avec l’acquisition de l’usine danoise Midjysk Lysfabrik, le groupe s’est solidement installé sur le marché scandinave. En rachetant de Mϋnz- en Kieser Kerzen en Allemagne, le groupe voulait s’implanter sur le marché des bougies autrichiennes. Ce sont des bougies ‘sculptées’ très chargées, populaires en Bavière et en Autriche.
Pas des biscuits, ni du chocolat, mais des bougies chauffe-plats !
En 1898, Verkade commence à fabriquer des bougies chauffe-plats et des veilleuses en cire de paraffine, dans une petite usine à Amsterdam. En 1902, l’usine de bougies chauffe-plats est inaugurée à Zaandam. L’entreprise achète le brevet de l’Anglais Morris Fowler, le beau-fils d’E.G. Verkade. Le succès de la waxine est tel que la marque déposée deviendra un nom générique. En 1991, Verkade vend toutes ses activités liées à la waxine au Bolsius Group BV.
A l’époque, les usines Bolsius produisent essentiellement des bougies non destinées à un usage religieux. En fusionnant avec la firme Hoogeland en Zn. de Roermond, spécialisée dans les cierges d’église, Bolsius veut assurer l’avenir de l’approvisionnement de ce secteur. Après le décès d’un des propriétaires (Harrie Hoogeland) , la firme H. Hoogeland & Z’n est à la recherche d’un candidat repreneur. Ce sera le groupe Anton Kristens Bolsius.
Cette année-là, A.B.J. (Anton) Kristen, issu d’une famille de fabricants de bougies en cire de Delden, rachète l’entreprise de Lambertus Bolsius. Le nom Bolsius Kaarsenfabriek B.V. est conservé, car il est mieux connu des consommateurs. Anton Kristen décide d’investir à grande échelle, et installe entre autres plusieurs lignes de fabrication de bougies entièrement automatisées, qui contribuent à tripler le chiffre d’affaires. La vente de bougies dans des emballages tendance et des emballages cadeaux et de produits apparentés aux bougies s’avère être un créneau porteur.
A l’époque, Bolsius ne peut pas faire face à la concurrence féroce du bloc de l’Est. De surcroît, la famille ne participe plus à la gestion quotidienne – vu le poste de direction de Lambertus Bolsius chez Nutricia – mais reste actionnaire. Le secteur des bougies est traditionnellement artisanal et compte des entreprises familiales. La famille Bolsius se met donc en quête d’un candidat repreneur.
1963: Les Frères Bolsius se lancent avec succès dans la vente de bougies funéraires et bougies de fête produites dans une fabrique de bougies située à Boxmeer, sous la direction d’Anton Kristen.
Comme Lambertus Bolsius est aussi directeur chez Nutricia (un groupe qui transforme le lait en poudre), on a l’idée géniale de fabriquer de la poudre de paraffine en mettant en contact la paraffine liquide avec de l’air froid, pour confectionner des bougies chauffe-plats. Une tour est conçue pour produire de la poudre et une ancienne comprimeuse (qui avait servi pour les cubes Maggi) est transformée en presse. Les bases sont jetées pour produire à grande échelle des bougies chauffe-plats et des bougies funéraires. Citons parmi les marques célèbres à l’époque : les bougies chauffe-plats Alpengloei et les bougies funéraires Theresia. Pendant ces années-là, l’entreprise artisanale se transforme en entreprise industrielle de taille moyenne.
A l’époque, les jeunes en particulier ont besoin de la lumière des bougies pour remplacer l’électricité. Les bougies décoratives sont très prisées. Les Frères Bolsius embraye et le succès est au rendez-vous. Le chiffre d’affaires de l’usine de la Kerkendijk augmente, et les effectifs suivent.
1954: Les deux directeurs Henricus et Godefridus Bolsius décèdent dans un accident de voiture : un choc énorme pour l’entreprise. La consternation est grande, à l’usine mais aussi dans la commune de Schijndel où Henricus et Godefridus Bolsius étaient très impliqués. Le fils de Harrie, L.J. (Lambertus) Bolsius et P. van der Heijden prennent la succession de l’entreprise.
Sous la direction de Messeirus Lambertus Bolsius et P. van der Heijden, l’entreprise connait un essor prodigieux.
L’arrivée de la Seconde Guerre mondiale est un coup dur pour l’entreprise, car l’approvisionnement des matières premières pour la cire et les bougies est gelé. Pour éviter que les travailleurs soient envoyés en Allemagne, l’entreprise se met à fabriquer des statues en plâtre.
Après le débarquement en 1944, Schijndel est pendant six semaines sur la ligne de front et les ravages sont énormes, également pour la S.A. Les Frères Bolsius. Après la libération de Schijndel, Bolsius est la première entreprise à redémarrer. En 1950, elle se lance dans la fabrication de bougies antiques, bougies de ménage et grosses bougies.
On utilise une fondeuse inventée par Antonius Bolsius et son contremaître Driek van Uden, dont la mèche trempait dans de la cire liquide. Plusieurs dames ont été engagées pour tresser les mèches. Les bougies sont fabriquées à la main. Ce travail manuel leur est enseigné par le sacristain de Schijndel, Marinus van Liempd.
Antonius est le fils de Henricus Bolsius et d’Allegonda Smits – la fille d’un brasseur fortuné de Schijndel – qui s’installe comme médecin du village aux alentours de 1850. Antoon étudie d’abord chez les Fraters van Tilburg sur la Ruwenberg à St. Michielsgestel. Il poursuit ensuite ses études au Collège des Pères Jésuites de Sittard.
Après ses études, Antonius Bolsius (Antoon) commence une blanchisserie de cire primitive dans le jardin de la maison parentale. Comme l’endroit est trop poussiéreux et qu’il est incommodé par la fumée générée par le blanchiment de la cire en plein air, son oncle lui offre un terrain sur la Kerkendijk, où le siège se trouve toujours aujourd’hui. La cire blanchie est fondue et emballée, puis envoyée aux sacristains et aux pasteurs qui en font eux-mêmes des bougies.
1906: Le fondateur de l’entreprise, Antonius Bolsius, décède cette année-là. Il a presque 57 ans et n’a jamais été marié. Deux fils de son frère reprennent donc la gestion de l’entreprise. Henricus (Harrie) et Godefridus (Frits) Bolsius.
Lambertus Bolsius intègre la blanchisserie de cire. Lambertus est le fils aîné de Henricus Bolsius. Après sa formation préalable, Lambertus fréquente le petit séminaire. Une fois ses études terminées, Lambertus travaille dans la brasserie de son oncle Mathijs Smits.